Se plaindre est mauvais pour le cerveau : la science nous dit pourquoi il faut arrêter !

Combien de fois avez-vous été réprimandé par vos amis et votre famille pour vos plaintes ? Et combien de fois vous êtes-vous rendu compte que vous avez exagéré et que vous vous êtes promis de le couper ? Eh bien, il semble qu'il soit temps de le faire. Si vous ne pouvez pas le faire vous-même, la science vous le recommande fortement...

Si, par contre, c'est la forme physique dont vous vous plaignez, vous devriez l'écouter :

Des exemples de réclamations ? La page facebook Lamentele (Italian Pride) en a autant que vous voulez...

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Le mot à la science : qu'arrive-t-il au cerveau lorsque nous nous plaignons

Malheureusement, se plaindre et bavarder fait partie de la nature humaine, de la santé et de celle de l'auditeur. Pouquoi? Pourquoi les plaintes brûlent les neurones ! Le cerveau active les mêmes fonctions cognitives nécessaires à la résolution de problèmes mais, en l'absence de problème concret à résoudre, il se détraque littéralement.
Lorsque nous nous plaignons, nous émettons des vibrations négatives qui créent un champ magnétique mortel autour de nous et de notre interlocuteur pour les neurones des deux.

Pourquoi nous plaignons-nous ? Nous vivons dans la patrie des plaintes!

Si votre matinée commence aussi par feuilleter un journal ou, plus vraisemblablement, par « jeter un œil à votre smartphone et à l'actualité proposée par Google, il n'est pas difficile de comprendre la tendance commune à se plaindre.
Entre les tragédies que l'on lit (et que l'on n'arrive pas toujours à expliquer) et la précarité que l'on vit au quotidien, on ne manque certainement pas de matière à se plaindre ! La sécurité et la stabilité ne font pas partie de cette phase historique ; travail, vie privée, catastrophes plus grandes que nous... tout est source d'inquiétude et les médias nous le rappellent chaque jour. Mais voulons-nous vraiment que tout cela finisse aussi par brûler nos neurones ? Voulons-nous devenir encore plus faciles à conditionner ? Si la réponse est non, nous devons dire NON aux plaintes et OUI à l'action.

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Comment lutter contre la tendance à se plaindre ?

Ne gâchons pas le petit-déjeuner, la pause déjeuner entre collègues et les soirées en famille comme celle-ci. Au lieu de les tuer, nous faisons fonctionner nos neurones grâce à un raisonnement et à un discours productifs qui recherchent des idées de solutions.
Vaut-il vraiment la peine de sacrifier la bonne humeur, la créativité et les compétences en résolution de problèmes à ces vampires énergétiques appelés griefs ?
Ne nourrissez pas ces pensées négatives et la frustration qui en découle, qui risque de vous mettre sur la voie de la dépression. Prenez l'exemple du Lagom suédois et construisez votre tranquillité d'esprit. C'est peut-être moins facile que de se plaindre, mais cela donne certainement de meilleurs résultats. Pour sûr (contrairement aux plaintes) cela donne des résultats.
Même le Pape a accroché à la porte de son appartement une pancarte indiquant "Aucune plainte !". Le psychologue Salvo Noè le lui a donné et c'est une invitation à en finir avec la victimisation et à laisser place à la proactivité en se concentrant sur son potentiel.

Et maintenant quelques pilules de bonheur, qui ne peuvent que vous faire du bien !

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